LES AMOUREUX DE PEYNET

                                                                       

CONNAÎT-ON ENCORE LES AMOUREUX DE PEYNET ?

POÉSIE, AS-TU PLACE ENCORE PARMI NOUS ?

Et qui savait que Peynet s'appelait Raymond ? Dans le vieux village du Cannet-Côte-d'azur, en haut de la première pente de la rue Saint Sauveur, on peut voir une façade entièrement peinte : Les Amoureux de Peynet !

La fresque commençait un peu à souffrir du passage des ans : Elle palissait ...


                                                             

Un échafaudage ... un treillis de protection : On ravive les couleurs ... Les Amoureux de Peynet reprennent vie !

Ah! Oui ... Peignez, peignez les façades ... Peignez-les d'images tendres ... Peignez-les d'images poétiques ! 

Donnez-nous le rêve ... Donnez-nous l'espoir !

                                                                       

C'est le peintre qui donne des couleurs à la vie ... C'est le poète qui donne du sens à la vie ... C'est l'Amour qui éveille tous les enchantements ! 
Et n'oubliez pas de nous envoyer des poètes et des peintres lorsque les couleurs commencent à pâlir !

Charles Trénet :

Heureux temps où les poètes chantaient en Français !

Je chante !
Je chante soir et matin,
Je chante sur mon chemin
Je chante, je vais de ferme en château
Je chante pour du pain je chante pour de l'eau
Je couche
Sur l'herbe tendre des bois
Les mouches
Ne me piquent pas
Je suis heureux, j'ai tout et j'ai rien
Je chante sur mon chemin
Je suis heureux et libre enfin.

Les nymphes
Divinités de la nuit,
Les nymphes
Couchent dans mon lit.
La lune se faufile à pas de loup
Dans le bois, pour danser, pour danser avec nous.
Je sonne
Chez la comtesse à midi :
Personne,
Elle est partie,
Elle n'a laissé qu'un peu d'riz pour moi
Me dit un laquais chinois ...